Ce matin, je lance QGIS, et je le lis pas le message affiché :
Et oui, j’ai autre chose à faire !
J’ouvre mon projet QGIS, que je dois mettre sur ma tablette pour aller sur le terrain, et ainsi faire du relevé en digitalisant avec QFIELD.
Je passe une bonne 1/2 heure à bien m’énerver pour comprendre ce qui ne va pas, car, vous vous en doutez, cela ne fonctionne pas… Argh.
Et je ne trouve pas ce qui pose problème ! Jusqu’à ce que je me souvienne ce que je répète à longueur de formation QGIS avec les équipes que je forme : METTEZ toujours à jour vos EXTENSIONS QGIS !
Alors, voici les étapes à suivre pour mettre à jour les extensions QGIS :
Ouvrez QGIS (Malin ! ;-)).
Allez dans le menu Extensions et sélectionnez Installer/Gérer les extensions.
Dans la fenêtre qui s’ouvre, vous verrez une liste de toutes les extensions installées.
Pour chaque extension, si une mise à jour est disponible, elle sera indiquée par un bouton Mettre à jour.
Cliquez sur le bouton Mettre à jour pour chaque extension que vous souhaitez mettre à jour.
Par ailleurs, voici une astuce que je vous conseille absolument de suivre : dans votre gestionnaire d’extensions, onglet Paramètres, n’oubliez pas de cocher la case Chercher des mises à jour au démarrage au moins une fois par mois. Cela permet à QGIS de vérifier automatiquement les mises à jour disponibles pour vos extensions chaque fois que vous démarrez le logiciel.
N’oubliez pas que certaines extensions peuvent nécessiter un redémarrage de QGIS pour que les mises à jour prennent effet. Si vous rencontrez des problèmes avec une extension après une mise à jour, essayez de redémarrer QGIS. Si le problème persiste, vous pouvez essayer de désinstaller et de réinstaller l’extension.
Allez, bonne carto !
Contactez-moi pour évaluer vos besoins en formation QGIS !
Fin juin 2023, Géoinformations, l’Espace interministériel de l’information géographique, valide la version QGIS 3.28.7 LTR comme version de référence pour les ministères.
Alors suivons leurs conseils !
Téléchargez cette version et suivez leurs conseils pour l’installation !
Outre le fait que des spécialistes ont testé cette version, celle-ci est personnalisée avec notamment les accès directs aux services Web de l’IGN et consorts.
Fin juin 2023, Géoinformations, l’Espace interministériel de l’information géographique, valide la version QGIS 3.22 LTR comme version de référence pour les ministères.
Alors pourquoi se priver de la télécharger et de l’installer ?
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Aujourd’hui, je vous parle d’une fonction classique de MapInfo PRO : l’analyse thématique avec symboles. Cet article est écrit à partir de MapInfo PRO 19, et il est valable quelque soit votre version de MapInfo PRO!
L’analyse thématique dans MapInfo, c’est l’équivalent de la symbologie dans QGIS. Toutefois, dans QGIS, au moins jusqu’aux versions 3.16, cette analyse fonctionne uniquement sur des ponctuels…
Colonnes temporaires
Je vais vous montrer dans cet article l’utilisation des colonnes temporaires, fonctionnalité largement sous-exploitée de MapInfo. Le principe est simple : d’abord on réalise une jointure dynamique entre 2 tables. Puis, vous enregistrez un Workspace (le document MapInfo) qui va stocker cette jointure temporaire.
Pour l’exemple, j’utilise une table des départements qui contient la géométrie et les attributs : celle-ci est fournie par l’IGN (ADMIN EXPRESS).
Ouvrir une table vectorielle
Rappelez-vous que dans MapInfo Pro les fonctions sont accessibles selon la fenêtre active !
Premièrement j’ouvre la table Departement via la commande Ouvrir – Table (Ctrl+O).
ASTUCE : on peut ouvrir simultanément plusieurs tables à partir de cette boite de dialogue. Il suffit de les sélectionner en enfonçant les touches SHIFT ou CTRL . La liste déroulante visualisation permet de définir plusieurs options d’ouverture.
Deuxièmement je visualise la couche des départements au complet : Clic-droit sur la Carte – Afficher toute la couche, ou effectuez un Clic droit dans la fenêtre Explorateur – Cartes.
Pour visualiser l’information sémantique correspondant à toute la table, il faut ouvrir une nouvelle fenêtre dédiée à l’affichage des données : une fenêtre Données .
On y accède par le clic-droit dans la fenêtre Couches – Afficher les Données ou la touche de fonction F4 ou encore clic droit dans la fenêtre Tables – Parcourir.
4 champs sont présents dans ma table. Parmi eux, le champ INSEE_DEP va me servir de jointure avec le second fichier.
Affichage des fenêtres
Troisièmement pour bien voir les données et la carte je modifie l’affichage des fenêtres via les onglets :
Quatrièmement j’ouvre le fichier Excel qui contient les données que je veux analyser!
Pour plus d’informations sur l’ouverture d’un fichier Excel, MapInfo ouverture d’un fichier Excel.
Ainsi, comme on le voit sur cette image, le champ qui servira de jointure est le champ DEP.
Création de l’analyse thématique
Je peux donc maintenant réaliser ma jointure directement depuis mon analyse thématique (oui oui!). Cela se fait par Carte – Analyse Thématique :
Tout d’abord, dans la catégorie Type, je prends Symboles, et puis je choisis Symboles par défaut parmi les modèles
Réalisation de la jointure
puis à l’étape suivante je choisis en variable la jointure Dynamique
Mise à jour de colonne temporaire
je paramètre la mise à jour de colonne
Je paramètre correctement la jointure avec les bons champs
Si MapInfo ne trouve pas automatiquement la jointure, j’ai ce message d’information : je clique sur OK !
Remarquez que cette étape est l’équivalent de la fonction Table – Mettre à jour colonne ! Simplement elle est intégrée à l’analyse thématique de MapInfo.
Enfin je valide avec OK pour rapatrier ma colonne temporaire
Paramétrage de la légende
Par ailleurs, je paramètre la légende, histoire de travailler la lisibilité !
Et enfin de modifie le symbole, avec de la bordure, toujours pour la visibilité, et j’ajoute les valeurs négatives !
Enfin, voilà le résultat !
Enregistrement dans un Workspace
Il me reste à enregistrer mon travail dans un Workspace MapInfo, c’est à dire dans la version Française un Document MapInfo.
Lors de la chaque ouverture de mon Workspace, chaque table est réouverte avec ses données, la jointure est recalculée, et ainsi les valeurs sont reportées sur mon analyse thématique.
Conclusion
En conclusion, utilisez cette méthode dès que vous avez des données qui varient souvent. Par exemple pour des cartes mensuelles, des tableaux de bords !
Vous noterez que le choix du type d’analyse est tout à fait discutable, voir carrément faux! Il aurait mieux valu que je fasse une analyse par Classe avec aplats de couleurs! C’eût été correct. Je suis donc obligé de supprimer ma couche thématique (MAJ+Suppr) et de recréer une nouvelle analyse… Heureusement, ma variable jointe est toujours présente !
Dans un prochain article, je vous expliquerai comment améliorer rapidement une analyse thématique !
Bonjour à toutes et tous ! Aujourd’hui, je vous parle de l’interface de MapInfo Pro, qui déroute les utilisateurs des anciennes versions, mais qui est bien plus efficace ! Tout a été repensé, selon les principes d’Office, et entre nous, ce n’est pas plus mal !
En V19, un écran de Bienvenue apparaît à l’ouverture de MapInfo Pro™. Il permet un accès rapide à différentes ressources en ligne… en anglais. Donc pas évident pour tout un chacun !
Rassurez-vous, on verra dans un prochain article qu’il est possible de désactiver cet écran.
Cliquez sur Document Vide pour accéder à l’interface du logiciel.
Donc vous retrouvez dans MapInfo PRO™ 64 l’ergonomie Office 2010 et versions postérieures. Le bureau de MapInfo Pro est une collection d’onglets, de groupes et de commandes qui sont accessibles à partir d’une mise en page de type ruban en haut du bureau. Chaque onglet contient un certain nombre de groupes de fonctionnalités associées, tandis que, dans les groupes, figurent les commandes et les listes de commande permettant d’effectuer des opérations.
Dans le ruban, MapInfo PRO™ présente 7 onglets personnalisables qui regroupent les fonctionnalités par thèmes :
Ainsi, il est beaucoup plus simple de trouver les fonctions dont on a besoin selon le travail à effectuer : sur une Carte, sur une Table, sur la mise en page,…Tout a été intelligemment regroupé !
Il faut noter que l’onglet Spatial regroupe toutes les fonctions de traitement des objets (menus Objets des anciennes versions par exemple ) : d’abord les outils de dessin, puis les fonction de traitement géographiques.
Les types de fenêtres
Par ailleurs, avec la nouvelle ergonomie MapInfo PRO™ 64, il existe plusieurs nouveaux types de fenêtres, disponibles via l’onglet Accueil. Bien les maîtriser, c’est gagner en productivité, en particulier avec 2 écrans !
Premièrement, vous avez les fenêtresd’outils : Explorateur, Info, Statistiques,… . Essentielles, utilisées selon les besoins.
Deuxièmement, utilisez les sousfenêtresd’exploration : fenêtre, Tables.
Troisièmement, évidemment, les indispensables fenêtres de documents : Cartes, Données, Légende, Mise en Page, Sectorisation.
Notez que la fenêtre Fenêtres permet de gérer l’affichage des autres fenêtres ! Et parfois, cela vous sauve la vie !
Toutes ces fenêtres peuvent être ancrées, flottantes ou à onglets, et s’affichent via l’ongletACCUEIL.
Testez le double-clic dans la barre de titre, qui permet de décrocher rapidement une fenêtre.
Fenêtres ancrées
Ces fenêtres sont ancrées dans MapInfo PRO™, et peuvent être figées sur l’un des côtés de votre espace de travail, ou encore sur ce même coté apparaître automatiquement afin de laisser un maximum d’espace disponible pour vos cartes !
Ainsi, la principale fenêtre ancrée à afficher est la fenêtre Explorateur :
Je vous conseille vivement de garder cette fenêtre ! En effet, elle permet de gérer vos cartes, vos tables, ainsi qu’à l’affichage des autres fenêtres.
Si vous voulez ancrer une fenêtre sur un coté de votre espace de travail, cliquez-déplacez sur la barre de titre et placez votre souris sur une des flèches du guide d’ancrage :
Fenêtres flottantes
Si vous souhaitez afficher des fenêtres hors de l’application MapInfo PRO™ 64, double-cliquez sur la barre de titre de votre fenêtre. Celle-ci devient alors une fenêtre flottante incluant selon son type des commandes pour travailler.
Fenêtres à onglets
On peut les utiliser dans l’espace central de MapInfo PRO™, et créer un ou plusieurs groupes d’onglets.
Voilà donc un topo sur les fenêtres dans MapInfo Pro 19. A chaque formation MapInfo, on commence par apprendre à gérer ces fenêtres. Je vous conseille donc d’y passer un peu de temps, et vous gagnerez en productivité!
MapInfo Pro™permet de travailler avec de très nombreux formats différents. Le seul fichier qui est obligatoirement présent pour une table ouverte dans MapInfo PRO™ est un fichier à l’extension TAB appelé fichier Définition . Le fameux « .TAB ».
Les autres formats présents avec le TAB varieront selon le type de table (sémantique, vectorielle, raster), et son origine (Excel, Access, Shape,…). Et ça, c’est souvent le truc que l’on ne comprend pas au début, et qui amène à pas mal d’erreurs et de galères : impossibilité de modifier des data, problèmes de mises à jour,…
Voyons donc ce qu’est un fichier TAB :
Le fichier « Définition » contient le type de la table, sa structure & les métadonnées.
Ainsi, c’est un fichier Texte qui va être utile pour ouvrir les autres fichiers de la table. Il ne contient AUCUNE donnée !!
Vous pouvez donc l’éditer dans un éditeur de texte pour lire son contenu, et éventuellement le modifier (attention quand même!).
Dans l’exemple ci-dessus, vous lisez le type de table (Native, donc au format MapInfo Natif), puis le nombre de champs (10), puis pour chaque champ présent, son nom, son type et éventuellement la présence d’un index.
Finalement apparaissent les métadonnées générées automatiquement par MapInfo Pro 19.
La deuxième ligne indique la version de MapInfo la plus ancienne avec laquelle il est possible d’ouvrir cette table. Ici la 4.50. Autrement dit une version qui date d’avant 2000 !
Voyons maintenant table par table le détail des fichiers présents.
Tables sémantiques
Pour rappel, ce sera par exemple un fichier Excel ! Une table sémantique sera toujours composée d’au moins 2 fichiers :
Premièrement un fichier Définition à l’extension TAB.
Si celui-ci n’est pas présent, MapInfo le crée et vous demande via une boite de dialogue de renseigner les informations nécessaires à sa création (nom et types de champs,…). Puis, dès l’ouverture, un fichier Définition correspondant à l’extension TAB est créé.
Puis un fichier à l’extension XLS, TXT, DBF, CSV, MDB (associé à un fichier AID lorsque la table est ouverte).
Ce fichier qui contient les données textuelles est visible dans le logiciel sous forme de tableau dans une fenêtre Données.
Voici un exemple avec un fichier Excel :
Tout d’abord lors de l’ouverture, MapInfo demande de renseigner les informations :
Puis le nom & le type de champ, que vous pouvez modifier (ici 2 chiffres après la virgule pour l’évolution) :
Enfin, plusieurs fichiers sont présents sur votre disque dur. Par ailleurs, dans le cas présent, une analyse thématique a généré un fichier IND pour l’index.
Voyons maintenait les tables vectorielles natives.
Les tables natives sont les tables qui sont fournies directement au format MapInfo. Une table vectorielle native est TOUJOURS constituée de plusieurs fichiers :
Un fichier Définition à l’extension TAB.
Un fichier à l’extension MAP.
Ce fichier contient tous les objets géométriques de la table, ainsi que son système de projection. Il peut donc être très volumineux !
Un fichier à l’extension DAT.
Ce fichier contient les enregistrements et les champs : les data sémantiques. Il peut aussi être volumineux !
Un fichier à l’extension ID.
Chaque objet géométrique étant relié à un enregistrement de la table et un seul, ce lien est stocké dans le fichier ID.
Un fichier à l’extension IND.
C’est un fichier d’index qui concerne les champs de votre table. C’est le seul fichier qui n’est pas obligatoire.
Tables raster
Je termine cet article par les fichiers des tables Raster : une table raster sera toujours composée d’au moins 2 fichiers :
Evidemment, comme pour toute table, le fichier à l’extension TAB, le fichier Définition.
Il contient le nom et le type de l’image raster auquel il est associé, son système de projection ainsi que les coordonnées des points de calage.
Et un fichier image dont l’extension varie selon le format : ECW (format d’image compressée), TIFF, JPG, …
ou encore XML pour des images provenant de serveurs d’images tuilées (Microsoft Bing®, OpenStreetMap®). Mais ces formats feront l’objet d’un autre article !
Voilà, j’espère vous avoir éclairé sur les formats classiques utilisés avec MapInfo. Prochainement un article sur les formats Esri Shape et AutoCad.
Dans cet article, je vais aborder les principes de base dans MapInfo, et notamment quels types de données sont exploitables dans votre soft !
Les bases de données géographiques dans MapInfo PRO™
Les données exploitables dans MapInfo PRO™ sont des informations géographiques organisées sous la forme de tables et classées en 2 catégories : les tablessémantiques et les tablesgraphiques ou géographiques. Rien que ça…
Vous connaissez déjà les tables sémantiques qui sont stockées dans des fichiers de différents formats (XLSX, TXT, CSV, etc.) que MapInfo sait ouvrir. Ainsi, elles possèdent uniquement des données Texte, Numérique, Date, etc., visibles dans les fenêtres Données de MapInfo.
OK, ça c’était la partie théorique la plus simple. Tout le monde connait les fichiers Excel.
Quand vous débutez avec MapInfo, la grande nouveauté, ce sont les tables graphiques qui possèdent un aspect géographique représentant ce qui se trouve sur Terre soit sous la forme d’objets (géométriques) vectoriels, soit sous la forme d’images matricielles.
Dans MapInfo, chaque table graphique est géoréférencée, c’est-à-dire qu’elle possède un système de projection. MapInfo Stocke de très nombreux systèmes de projection (ce sera l’objet d’un prochain article!).
Les tables vectorielles utilisées par MapInfo comportent 2 parties distinctes et liées : une partie Graphique, et une partie Données.
La partie Données est structurée exactement comme une table sémantique. La partie Graphique est constituée d’objets géométriques vectoriels (et oui, MapInfo parle d’objets!). Chaque objet est rattaché physiquement à un enregistrement de la partie Données ; il y a donc normalement autant d’objets que d’enregistrements (sauf certains cas particuliers; la fonction compactage de Tables de MapInfo est alors très utile!).
Les objets dans MapInfo
Les objets MapInfo sont de différents types : polygones, polylignes, points, (plus rarement utilisé Texte).
les points MapInfo : implantation ponctuelle
Objet ponctuel (site, magasin, client, point d’eau,…)
les lignes / les polylignes MapInfo : implantation linéaire
Objet linéaire (réseau routier, hydro, …)
les polygones / les régions MapInfo : implantation zonale
Objet surfacique (bâtiment, forêt, territoire communal, zone de chalandise, …)
Dans MapInfo, une table RASTER comporte uniquement une partie graphique qui est une image géoréférencée (vue aérienne, plan scanné). Celle-ci est composée de pixels qui forment une matrice, d’où le terme de Raster dans MapInfo !
Exemple de vue Aérienne Bing dans MapInfo
Je vous parlerai pas dans un prochain article d’un autre type de tables utilisées dans MapInfo : les Grilles, ou véritables tables Raster (MNT par ex.) !
La principale nouveauté de MapInfo PRO 19 est l’outil SQL.
Ce nouvel outil permet d’exécuter des instructions SQL avec un assistant à la saisie. Il propose une aide à la saisie d’instructions SQL, ainsi que la sauvegarde de modèles de scripts. Couplé à la fenêtre MapBasic, il s’avère très utile dès lors que vous connaissez le SQL !
Il propose de nombreuses fonctionnalités :
une aide à la saisie des scripts
la sauvegarde de vos scripts (format mbs, qry)
la gestion de favoris
des scripts de différentes types (sélections, insertions, mise à jour, suppression)
Astuce MapInfo PRO : transformer une table de polygones en points avec le géocodage !
Dans cette courte vidéo (2’17 sec), je vous montre comment transformer une table de communes constituée de polygones en table de communes ponctuelle, basée sur les centroïdes. On utilise souvent cette astuce en formation MapInfo PRO.
Ainsi, vous pouvez réaliser une analyse bi-variée sur vos communes.
Il n’est pas toujours très simple de comprendre comment déplacer les fenêtres de documents dans MapInfo PRO. C’est d’ailleurs un des premiers sujet abordé en formation MapInfo !
Voici une deuxième vidéo très courte qui vous explique tout!
Vous retrouvez dans MapInfo PRO™ 64 l’ergonomie Office 2010 et versions postérieures.
Le bureau de MapInfo Pro est une collection d’onglets, de groupes et de commandes.
Ils sont accessibles à partir d’une mise en page de type ruban en haut du bureau.
Chaque onglet contient un certain nombre de groupes de fonctionnalités associées, tandis que, dans les groupes, figurent les commandes et les listes de commande permettant d’effectuer des opérations.
On débute souvent avec ces explications en formation MapInfo !
Explications dans première vidéo très courte (1’57 sec) !
La mise à jour MapInfo 17.0.2 est disponible. Parmi les nouveautés, un changement de design avec le bandeau bleu, qui est concomitant avec la sortie du nouveau MapInfo Viewer 17: celui-ci prend l’aspect des versions MapInfo Pro 17.0 et MapInfo Pro 17.01.
MapInfo Viewer 17 est donc remis au gout du jour : il s’agit d’une version Lite de MapInfo PRO qui permet l’ouverture de vos cartes (Workspaces) par des utilisateurs non spécialistes. Il autorise l’ouverture de tables, mais pas leur modification.
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